mardi 30 mars 2010

La peau de pomme de terre (suite)

Un correspondant qui n'a hélas pas laissé son email pour que je lui réponde m'oblige à répondre publiquement au commentaire qu'il a laissé.
Non, je n'ai pas dit lors des Cours de gastronomie moléculaire 2010 (25 et 26 janvier) que le coeur des pommes de terre contenait autant de solanine et autres glycoalcaloïdes que la peau. Ces composés sont surtout dans les 3 premiers millimètres à partir de la surface.
Ce que j'ai ajouté, c'est que la cuisson répartissait ces composés de façon imprévisible, en raison des diversités de tubercules. Mais ça migre difficilement à coeur!
vive la gourmandise éclairée

2 commentaires:

  1. J'ai bien précisé dans mon commentaire que je pensais au cours de 2009 (je n'ai pas encore visionné celui de 2010; des video sont-elles d'ailleurs disponibles en ligne ?). J'ai peut-être mal compris votre propos d'alors et mémorisé une information inexacte, mais le contexte étant les précisions culinaires, vous trucidiez l'idée (fausse, donc, dans mon souvenir) qu'il suffit de peler la pomme de terre pour en supprimer la toxicité. J'avoue ne pas me souvenir s'il s'agissait de pommes de terres cuites ou crues, et que j'ai la flemme de re-visionner les 14 heures de video pour retrouver vos propos exacts.

    Précision sans relation avec ce qui précède : vous avez tout à fait le droit de répondre à un commentaire sur votre blog en postant vous-même un commentaire à la suite du premier. Les commentaires dans les blogs sont souvent utilisés pour entretenir des fils de discussion entre les lecteurs et l'animateur du blog, et vous n'êtes nullement obligé de publier un second message pour me répondre. Cela dit c'est votre blog, vous faites comme vous voulez. Vive l'utilisation éclairée des technologies de l'Internet

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  2. Merci de votre réponse. J'ignore les usages des blogs, et je viens de comprendre mieux grâce à vous.
    Non, les cours de 2010 ne sont pas encore en ligne, mais ça devrait arriver bientot.
    bonne journée

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