Le moi est haïssable, mais on me pardonnera parce que je me laisse aller à faire un éloge : celui de Maxime Piétri.
Maxime Piétri nous a quitté il y a peu. Je l'aimais beaucoup, et je crois qu'il ne me détestait pas. Il était de ceux qui écrivent avec bonhomie et gourmandise, mais sans perdre leur esprit critique.
Hélas, je n'ai pas pu lui dire de son vivant tout ce que j'aurais dû... et je me suis résolu à faire la préface de son livre, qui vient d'être réédité :
Ah, que la gourmandise est chose aimable !
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