Relisant des contributions d'un nombre notable de collègues, les unes à la suite des autres, je vois des titres d'intervention, des affiliations et des textes.
Oubliant les personnalités, je m'aperçois que ce sont les titres et les messages qui m'intéressent mais que je me fiche complètement de savoir la totalité des titres de mes amis : cela n'a aucun intérêt et je ne le lis même pas.
Au fond, c'est là une vraie leçon : mettons-nous dans cet état
d'esprit de découvrir des matières intéressantes, et oublions les
personnes qui les portent, au plus exactement, ayons de la
reconnaissance pour les personnes qui portent bien les matières, qui
nous éclairent, mais ne perdons pas de temps à ces détails biographiques
sans intérêt.
J'ajoute que pour de tel paragraphes biographiques, il y a des
possibilités de faire mieux que mal : par exemple, l'auteur pourrait avoir
comme objectif d'indiquer en quoi il est compétent pour que nous recevions le message qu'il
délivre. Et là, ce sont les fonctions
exercées qui comptent, dans la mesure où elles ont un rapport direct avec le
sujet qui est présenté. Par exemple, si l'on écoute un exposé sur la
méthodologie d'évaluation toxicologique en Europe, il n'est pas inutile
de savoir que la personne qui fait cette exposé connaît bien le sujet
dont il parle.
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