Ce blog contient:
- des réflexions scientifiques
- des mécanismes, des phénomènes, à partir de la cuisine
- des idées sur les "études" (ce qui est fautivement nommé "enseignement"
- des idées "politiques" : pour une vie en collectivité plus rationnelle et plus harmonieuse ; des relents des Lumières !
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mercredi 30 novembre 2011
Et si...
Et si une belle personne, c'était quelqu'un qui se préoccupe du collectif, au lieu de se préoccuper de sa petite personne?
En sommes Gandhi ou mère Teresa plutôt que Rastignac! Pas de doute que si nous pensions un peu plus aux autres le monde serait moins pire pour tous. Comme le minimum culinaire fait de quatorze idées essentielles, la sagesse - qui seule peut conduire au bonheur - passe par le rappel de quelques fondamentaux à respecter dans la conduite de sa vie. Au premier plan certainement le besoin impératif de penser aux autres , Sans doute aussi la nécessité de ne pas céder à l’obsession du siècle de la vitesse, de prendre le temps de ralentir comme nous y invite Christophe André dans le dernier Pour la Science. Arrêtons un peu de sursaturer nos pauvres cerveaux d’orgies d’informations, d’images de son, de bruit et de fureur. Laissons à nos neurones le temps de la créativité tranquille. Dégustons toutes les bonnes choses qui ne sont pas toutes des plats savamment préparés mais quelque fois aussi simple que le spectacle d'un orage d'été ou d'un coucher de soleil flamboyant... A la nécessité de l’altruisme , de la reconnaissance de l’altérité comme élément essentiel de notre construction j’ajouterai volontiers l’éloge de la lenteur qui n’a rien à voir avec la paresse.
En sommes Gandhi ou mère Teresa plutôt que Rastignac!
RépondreSupprimerPas de doute que si nous pensions un peu plus aux autres le monde serait moins pire pour tous.
Comme le minimum culinaire fait de quatorze idées essentielles, la sagesse - qui seule peut conduire au bonheur - passe par le rappel de quelques fondamentaux à respecter dans la conduite de sa vie.
Au premier plan certainement le besoin impératif de penser aux autres ,
Sans doute aussi la nécessité de ne pas céder à l’obsession du siècle de la vitesse, de prendre le temps de ralentir comme nous y invite Christophe André dans le dernier Pour la Science.
Arrêtons un peu de sursaturer nos pauvres cerveaux d’orgies d’informations, d’images de son, de bruit et de fureur.
Laissons à nos neurones le temps de la créativité tranquille.
Dégustons toutes les bonnes choses qui ne sont pas toutes des plats savamment préparés mais quelque fois aussi simple que le spectacle d'un orage d'été ou d'un coucher de soleil flamboyant...
A la nécessité de l’altruisme , de la reconnaissance de l’altérité comme élément essentiel de notre construction j’ajouterai volontiers l’éloge de la lenteur qui n’a rien à voir avec la paresse.